France, 1907 : On appelle ainsi, en terme de courses, un cheval qui, bien que porté sur la liste, ne doit point courir.
Le propriétaire, l’entraîneur, le jockey ou même quelquefois le lad de l’écurie ayant renseigné le maître filou, celui-ci s’empresse de donner le cheval mort à une cote superbe. On le prend naturellement à la préférence d’un autre et le tour est joué…
(Hogier-Grison, Le Monde où l’on flibuste)